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Reigns: Her Majesty

Reigns: Her Majesty

Le roi est mort, longue vie à la reine.

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Après son succès de l'an dernier, Reigns est de retour pour une nouvelle expérience diplomatique Tinderesque. Comme son prédécesseur, vous dirigez une nouvelle fois un royaume médiéval. Cependant, comme le suggère le titre, cette fois-ci vous incarnerez une reine et non un roi.

Si vous avez déjà été initié au précèdent opus, vous remarquerez que les bases restent les même ; il vous sera présenté des choix à travers des cartes que vous swipperez sur la gauche ou la droite pour accepter ou refuser. Selon les décisions prisent, vous débloquerez de nouveaux personnages à rencontrer et donc de nouvelles cartes choix à swipper. En haut de l'écran, vous pouvez observer les quatre aspects de votre royaume : l'église, vos sujets, l'armée et la trésorerie. Chacun de vos choix affecte directement votre popularité via ses quatre éléments. Si l'un d'eux tombe à zéro, c'est le game over, mais attention, être trop populaire peut aussi conduire à l'échec. Il faudra donc trouver le bon équilibre entre ses quatre points. Vous comprendrez rapidement que la tâche n'est pas si aisé, ne soyez donc pas trop découragé si votre première partie se termine en un round ou deux !

En cas de mort, vous serez immédiatement réincarnez en la reine héritière. Les raisons de ce cycle perpétuel vous seront expliquées par les réincarnations des reines d'antan que nous ne divulguerons pas ici.

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Bien que les bases soient les mêmes que le premier volet, le fait d'être une reine délivre une expérience très différente : vous expérimenterez des difficultés propres à la gente féminine du moyen-âge comme mourir en mettant au monde votre enfant ou être accusé d'être une sorcière. Un certain sexisme d'époque (mais parfois aussi d'actualité) est aussi présent, il vous sera, par exemple, demandé de sourire plus ou de vous habillez d'une certaine manière. Bien sûr, vous n'êtes en rien obligé d'obéir, après tout vous êtes la reine.

La sélection d'items est aussi plus vaste dans cette suite ainsi que de nouvelles pénalités pour l'utilisation d'objet de manière inappropriée. Mais ce qui est indéniablement de retour est l'humour noir qui avait habité le premier épisode. Mourir n'a jamais été aussi drôle malgré la fréquence outrageante des trépas.

Pour vous aider dans votre gouvernance, des indices vous sont donnés sur les choix que vous pouvez (ou devriez) faire, mais votre expérience reste entièrement libre et vous pouvez faire fis de ces conseils. Vous êtes libre d'avoir des relations illégitimes avec d'autres hommes ou femmes. Vous pouvez mettre à dos l'église ou insulter votre général. Mais certaines décisions restent plus judicieuses que d'autres. Néanmoins, c'est ces petites folies et écarts de conduite qui font que le jeu est si amusant. Cela offre d'ailleurs une bonne rejouabilité à Reigns, un peu comme les livres dont vous êtes le héros où différentes voies s'ouvrent à vous. Vous pouvez régnez de la manière que vous souhaitez, si vous êtes du moins prêt à mourir quelques fois au passage.

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HQ
07 Gamereactor France
7 / 10
+
Des mécaniques simples et amusantes, Des changements sympathiques du fait de passer d'un roi à une reine
-
C'est pratiquement le même jeu que le premier opus avec plus de contenu.
overall score
La moyenne de Gamereactor. Quelle note lui attribueriez vous? La moyenne est établie à partir des notes accordées par les différentes rédactions européennes de Gamereactor

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